mercredi 18 mai 2011

La supervision RAD 2*, vous allez adorer !

*rapid application development and deployment

Lorsqu’un intégrateur installe Ignition pour son client, il en donne plus qu’il n’y paraît au premier abord. Le client économise à la fois sur le coût des licences, mais également sur la main d’œuvre pour le développement de l’application et son déploiement. C’est le double effet kiss cool pour le client final.

Si vous êtes un intégrateur et que vous lisez ces lignes, vous allez bondir et dire "mais c’est du job en moins pour moi !". L’expérience montre que ce n’est pas ce qui se passe. Au contraire, quand vous offrez plus de fonctionnalités dans le même temps de développement, votre client vous reconnaitra cette efficacité. Et il vous en demandera encore plus. C’est une situation gagnant-gagnant. Et la réalité est que le client a le sentiment d’obtenir enfin ce qu’il a toujours attendu pour ce type de prestation.

C’est une situation que vous devez utiliser comme un avantage décisif pour offrir vos services.

Envisagez un autre point de vue : qui aime payer son intégrateur plusieurs jours juste pour installer et mettre à niveau son logiciel de supervision ? C’est un gaspillage incroyable de temps et d’argent et je – on - comprends parfaitement la frustration des clients finaux dans ce genre de contexte. Stop. L’installation d’une supervision industrielle, base SQL comprise, ne doit pas durer plus de trois minutes, montre en main. Le reste du temps, créez l’application de votre client et déployez une centaine de clients en un clic de souris.

Les clients finaux deviennent de plus en plus exigeants

Les clients finaux commencent à comprendre que c’est ainsi que cela doit se passer. Je suis témoin tous les jours de la grande surprise des clients lorsqu’ils découvrent Ignition et qu’ils commencent à comprendre le potentiel d’une telle architecture. Le scepticisme – d’une solution web centrique, car il faut admettre que jusque là, les propositions des éditeurs prêtaient plutôt à sourire  – laisse la place à un large sourire qui en dit long sur leurs attentes. Et les intégrateurs ne s’y trompent pas non plus. Maintenant, pour un client final – et un bon intégrateur – serveur web et bases SQL sont la norme.

Quand un intégrateur propose à un de ces clients une solution old school, il prend le risque de se voir opposer de sérieux arguments à sa proposition.

Quasi toutes les solutions du marché sont so 90’s. Ce qui est rafraichissant dans la mode ou la musique devient un handicap lorsqu’on parle de logiciels industriels. L’utilisation de bases de données relationnelle est courante en supervision. Tous les éditeurs ont une solution pour "mettre en base" comme ils disent. Mais ce ne sont que des add-on et rien n’a été pensé à la source avec SQL dans l’esprit. Vous pouvez bien sûr arriver à construire une application qui mêle supervision (une licence), historian (une licence) et relationnel avec les bases de l’entreprise (un bricolage)… Mais pourquoi se compliquer la vie, faire des assemblages de logiciels quand vous pouvez le faire en quelques clics, de manière native et pour une fraction du temps de développement ?

Croyez-moi, vous allez adorer.

Intégrateurs, partez en tête pour la course à la compétitivité

Les intégrateurs doivent être à l’affut des solutions pour être plus efficaces. Certains intégrateurs disent "Je fais juste ce que le client me demande." Ceux-là prennent un risque, car un jour, le client découvrira que d’autres intégrateurs peuvent lui en offrir beaucoup plus pour le même budget et dans le même temps !

Voici un exemple concret ; imaginez l'application suivante.

Une GTC simple (remontée d’alarmes, archivage et ihm) d’un datacenter réparti sur plusieurs bâtiments. Chaque bâtiment doit disposer de son propre serveur (+5000 variables) et servir une dizaine de clients, et on doit pouvoir voir les autres bâtiments depuis n’importe quel endroit de l’installation.

Je vous laisse imaginer l’architecture, son déploiement et sa maintenance (ouch les montées de versions…) en solution classique (serveurs + clients lourds ou serveurs + clients légers) et les coûts d'un tel déploiement (penser à inclure la licence de développement – au fait comment je fais quand je n’ai qu’une licence de développement, mais trois applications distinctes et distantes à maintenir ? -, le coût du contrat de maintenance associé, etc.).

Imaginez maintenant la même application avec Ignition : 3 serveurs et du retargetting pour l’hypervision. Sous Linux. Pour le reste, variables, clients et outils de développements en mode web et illimités. Le client pourra étendre son application à loisir. En faisant appel à son intégrateur adoré qui lui aura fait gagner beaucoup d’argent (30k€ vs +120k€) et de nombreuses fonctionnalités (reporting, intégration à l’entreprise, dashboard, applications disponibles sur iPhone/iPad ou Blackberry, etc.).

Alors, qui est-ce qui va adorer ?