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mardi 19 juin 2012

Mettre en place une application de TRS et Downtime full web en moins de 10 minutes ? C'est possible.
Voici comment.


Mais pourquoi mettre en place un TRS ?

La mise en place d'indicateurs normalisés de performances du type TRS et TRG est devenue une nécessité pour piloter avec efficacité la production.

Combinés au suivi des arrêts, ces indicateurs deviennent des éléments clés de l'amélioration de la productivité et une aide précieuse aux démarches LEAN et Six Sigma en permettant une collaboration efficace entre tous les départements (fonction scheduling).

Avec Ignition™ MES - OEE Downtime, la mise en place d'une solution de suivi du TRS et des arrêts n'a jamais été aussi simple ni aussi efficace.

Découvrez en quelques minutes les avantages d'Ignition™ et laissez vous convaincre :

  • TRS et Downtime en temps réel
  • planification des OFs
  • module de reporting intégré
  • module d'analyse avec drilldown, drill through... intégré
  • hmi, scada, mes avec le même serveur
  • accessible sur smartphones et tablettes
  • toutes les données (config, collecte) en base SQL ouverte
  • intégration ultra simple au SI (http/https, sql, java, python, opc-ua)
  • variables illimités
  • projets illimités
  • clients illimités
  • multi plateforme
  • full web


mardi 22 mai 2012

Services Web et Supervision Industrielle


Les services web sont un des moyens d’interfaçage entre systèmes informatiques. Ils servent à connaître la météo du lendemain, la valeur des actions en bourse ou d’un voyage en TGV…bref, tout un panel de services disponible publiquement ou non.
Mais dans le domaine de la supervision industrielle et du MES, les services web peuvent servir de middleware entre les ERP et la supervision.

Depuis un certain temps, nous avons réfléchi à l’intégration des services web dans Ignition™ mais nous avons buté sur 3 problèmes :

  1. Il existe plusieurs standards de services web. Trop.
  2. Le format des données est très variable et parfois complexe avec des imbrications de structures
  3. Les réponses peuvent comporter un nombre variable de données à chaque requête

Du point de vue Ignition™, comment traiter ces données complexes en quantité variable et les rendre aussi simple à utiliser et compatibles avec les SQLTags®, les SQLtag® History ou toute autre base de données ? Si vous y réfléchissez, vous verrez que le problème peut rapidement vous donner des cheveux blancs.

Nous avons récemment (Ignition™ version 7.4.2) trouvé une solution simple en intégrant la librairie

Python pour les web services : SUDS

En deux lignes de code Python, vous pouvez interagir avec tout service web reposant sur SOAP et qui fournit des fichiers WSDL. Mais en pratique, qu’est-ce que cela veut dire ?

Les services web démystifiés

Les services web ne sont rien d’autre que des pages web pour les machines. Imaginez un serveur web (comme celui qui héberge ce site), un client web (votre navigateur) et à votre place (vous qui contrôlez le navigateur web et interprétez le contenu), il y a un programme qui fait ce travail.

Le contenu d’une page web est décrit avec du code HTML (du texte), dans un service web il s’agit de XML (eXtensible Markup Language) qui est aussi du texte. HTML permet de décrire comment un contenu doit être affiché dans un navigateur (on parle de rendu), XML permet lui de décrire de manière structurée des données à échanger.

SOAP (Simple Object Access Protocol) est le protocole d’échange entre le serveur web et un client, le contrat entre le serveur et le client qui repose sur XML.

WSDL (Web Services Description Language) est la page web d’accueil (XML) que le serveur envoie en guise de réponse au client à la question « Comment puis-je te parler ? » et « qu’elles peuvent être tes réponses ? »

La libraire Python SUDS

La libraire Python SUDS peut interroger un serveur et analyser le fichier WSDL et afficher en clair comment poser les questions pour invoquer les méthodes. Par exemple, on pourra utiliser un service web pour retrouver un ordre de fabrication, renseigner l’OF avec l’état actuel de la production et le renvoyer à l’ERP.

Ce qui est incroyable avec la librairie SUDS, c’est que cela fonctionne ! Les autres librairies que nous avons essayées n’ont jamais été aussi simples et performantes.

Ce qu’il faut savoir, c’est que le format XML peut être structuré de manière arbitraire. Il existe donc plusieurs formats, chacun essayant de régner en maître, par exemple WSI-BP (Web Services Interoperability – Basic Profile). C’est probablement l’une des raisons des échecs de la plupart des librairies que nous avons testées. Excepté SUDS.


Si on regarde l’exemple ci-dessus, on voit SUDS en action dans le « script playground » d’Ignition™ :

  1. On importe d’abord la librairie
  2. On créer une instance cliente sur un serveur et on demande le contrat « calculator »
  3. On affiche la « traduction » de SUDS qui indique qu’il y a 4 méthodes (add, divide, multiply, subtract) qui chacune prennent 2 arguments de type float
  4. On utilise ces informations pour effectuer notre calcul à l’aide de l’instruction print client.service.divide(33.33, 11.11)
Le code (nécessite Ignition™ 7.4.2 minimum) :
from suds.client import Client
client = Client("http://soaptest.parasoft.com/calculator.wsdl")
print client
print client.service.divide(33.33,11.11)

4 lignes. C’est toute la beauté de SUDS.

Avec les fonctions de script Python d’Ignition™ - et si besoin l’appel de classes Java ;) - on peut utiliser très simplement les services web quel que soit le format des données.

SUDS est une librairie très riche, mais vous n’avez pas besoin de  beaucoup plus que ce que vous avez ici pour faire des choses magiques. Au cas où, la documentation SUDS ici et les PyDocs ici.

SUDS et Ignition™ en action

Mieux qu'un long discours, regardez l'exemple en images animées.

Vous voulez essayer, téléchargez Ignition™, installez-le en 2 minutes et voilà !

lundi 5 mars 2012

GTC et Metering avec Ignition™

Miosmeter®, une solution de télé relève, multi énergies.

Cette nouvelle déclinaison de l'association Miosbox/Ignition confirme la parfaite complémentarité d'un hardware "intelligent" et d'une solution logicielle "agile".
Cela donne une solution innovante, génératrice de gains importants pour l'intégrateur et l'utilisateur final.

La solution a été présentée à Interclima-Elec 2012 (7-12 février 2012).

Miosmeter® en action (Ignition™ embarqué dans la miosbox)

Architecture Miosmeter®

Plus d'informations :
Site web Ignition™ : www.on-solution.net
Site web Mios : http://www.mios.fr/

mardi 31 janvier 2012

Mioswater® : Appliance pour les stations d'épuration

Mioswater® : la première solution embarquée de télégestion et de supervision


Depuis plusieurs mois, MIOS (13) et ON SOLUTION (13) mettent en commun savoir faire et volonté d'apporter des solutions innovantes pour les marchés de l'eau et l'environnement, du building et smart metering, ce que moi je qualifie de machines-to-cloud (j'aurai l'occasion d'en reparler).

Premier fruit de cette collaboration, la Mioswater® a reçu un excellent accueil lors de la 13ème édition du Carrefour des Gestions Locales de l'Eau, événement national de référence pour toutes les problématiques liées à l'eau (25 et 26 janvier 2012 à Rennes).

Mioswater® est l'association de deux solutions uniques sur le marché : la Miosbox, automate fédérateur multi protocoles et multi services et Ignition™, solution de supervision cross plateforme et web.

Avec Mioswater®, vous avez une solution tout-en-un pour toutes vos installations dans l'eau et l'environnement : automatisme, contrôle d'accès et supervision sont embarqué dans un matériel robuste, ouvert, communicant et autonome.

L'architecture permet d'évoluer d'une solution mono box (tout en un) vers une solution multi box avec serveur de supervision sur une machine dédiée ou vers une architecture machines-to-cloud plus orientée services (hébergement, location).

Plus d'informations : http://goo.gl/2NrYx
Site web Ignition™ : www.on-solution.net
Site web Mios : http://www.mios.fr/


Ignition + Mios = Mioswater®


mardi 17 janvier 2012

Modélisation objet avec Ignition 7.4


Il y a bien longtemps que je n'ai pas posté sur ce blog. Non pas que les sujets manquent, mais plutôt une activité de fin d'année intense pour nous.
Ce billet, je n'ai pas résisté à vous le faire partager tout de suite tellement je suis enthousiasmé par ce que j'ai pu voir.

Nous allons vous proposer, dans les prochains jours, la version 7.4 d'Ignition qui apportera comme nouveauté, la modélisation objet.
En 2012, Ignition, ça va roxer !

Vous avez Ignition, vous avez tout compris

OO Scada
La modélisation objet en supervision industrielle accélère le développement et la maintenance des applications, car les écrans et les objets sont dérivés de modèles. Si une modification est faite sur un modèle, celle-ci sera propagée à toutes les instances. Un gain de temps inestimable.
Ca, c'est pour l'aspect visuel des choses.

Mais un composant est aussi doté de données et de comportements (scripts, évènements...). La couche des données est donc naturellement mise au diapason pour cette approche objet. On parlera ici de UDTs (User Defined Type). Si on combine l'utilisation des modèles de composants à celle des UDTs, alors on accède à un tout nouvel étage de possibilité et de puissance.
En réalité, la productivité peut croitre de 10-100 fois comparée à un système classique.

Ignition 7.4 sera objet. Ce n'est pas le premier superviseur objet, j'en connais au moins un autre qui est top, mais ce sera surement le meilleur, ne vous y trompez pas.

Le fait est que nous écoutons toujours beaucoup nos utilisateurs. Le retour d'expérience des utilisateurs de systèmes scada dits objets nous ont bien mis en garde contre les implémentation boguées ou beaucoup trop complexes pour être réellement utilisables ou performantes.

Vous allez donc pouvoir découvrir ce nouveau paradigme avec Ignition 7.4 dès Février 2012 ;  et vous n'allez pas être déçu, comme toujours : ridiculement simple, extrêmement puissant et avec des outils de productivité que personne d'autre ne peut vous proposer. A ce prix en plus.
Le développement avec Ignition sera bien plus performant avec Ignition qu'avec n'importe quel autre outil du marché.

En conclusion, Ignition est un choix incontournable. Regardez simplement les points suivants :

  1. Modèle de licence par serveur, pas par client ni nombre de variables
  2. Installation sur tous les OS, en 2 minutes chrono, même Windows 8
  3. Développement ultra rapide
  4. Déploiement ultra simple et sécurisé sur tous clients PC ou mobile
Tous ces points sont des avantages compétitifs. Vous devez en tirer profit pour gagner plus de projets et surtout les rendre vraiment profitables.

Maintenant avec le développement objet, tous les points s'alignent pour donner une puissance de feu incroyable à tous ceux qui choisissent Ignition.

Qui sera le prochain à nous demander une offre ?


mercredi 18 mai 2011

La supervision RAD 2*, vous allez adorer !

*rapid application development and deployment

Lorsqu’un intégrateur installe Ignition pour son client, il en donne plus qu’il n’y paraît au premier abord. Le client économise à la fois sur le coût des licences, mais également sur la main d’œuvre pour le développement de l’application et son déploiement. C’est le double effet kiss cool pour le client final.

Si vous êtes un intégrateur et que vous lisez ces lignes, vous allez bondir et dire "mais c’est du job en moins pour moi !". L’expérience montre que ce n’est pas ce qui se passe. Au contraire, quand vous offrez plus de fonctionnalités dans le même temps de développement, votre client vous reconnaitra cette efficacité. Et il vous en demandera encore plus. C’est une situation gagnant-gagnant. Et la réalité est que le client a le sentiment d’obtenir enfin ce qu’il a toujours attendu pour ce type de prestation.

C’est une situation que vous devez utiliser comme un avantage décisif pour offrir vos services.

Envisagez un autre point de vue : qui aime payer son intégrateur plusieurs jours juste pour installer et mettre à niveau son logiciel de supervision ? C’est un gaspillage incroyable de temps et d’argent et je – on - comprends parfaitement la frustration des clients finaux dans ce genre de contexte. Stop. L’installation d’une supervision industrielle, base SQL comprise, ne doit pas durer plus de trois minutes, montre en main. Le reste du temps, créez l’application de votre client et déployez une centaine de clients en un clic de souris.

Les clients finaux deviennent de plus en plus exigeants

Les clients finaux commencent à comprendre que c’est ainsi que cela doit se passer. Je suis témoin tous les jours de la grande surprise des clients lorsqu’ils découvrent Ignition et qu’ils commencent à comprendre le potentiel d’une telle architecture. Le scepticisme – d’une solution web centrique, car il faut admettre que jusque là, les propositions des éditeurs prêtaient plutôt à sourire  – laisse la place à un large sourire qui en dit long sur leurs attentes. Et les intégrateurs ne s’y trompent pas non plus. Maintenant, pour un client final – et un bon intégrateur – serveur web et bases SQL sont la norme.

Quand un intégrateur propose à un de ces clients une solution old school, il prend le risque de se voir opposer de sérieux arguments à sa proposition.

Quasi toutes les solutions du marché sont so 90’s. Ce qui est rafraichissant dans la mode ou la musique devient un handicap lorsqu’on parle de logiciels industriels. L’utilisation de bases de données relationnelle est courante en supervision. Tous les éditeurs ont une solution pour "mettre en base" comme ils disent. Mais ce ne sont que des add-on et rien n’a été pensé à la source avec SQL dans l’esprit. Vous pouvez bien sûr arriver à construire une application qui mêle supervision (une licence), historian (une licence) et relationnel avec les bases de l’entreprise (un bricolage)… Mais pourquoi se compliquer la vie, faire des assemblages de logiciels quand vous pouvez le faire en quelques clics, de manière native et pour une fraction du temps de développement ?

Croyez-moi, vous allez adorer.

Intégrateurs, partez en tête pour la course à la compétitivité

Les intégrateurs doivent être à l’affut des solutions pour être plus efficaces. Certains intégrateurs disent "Je fais juste ce que le client me demande." Ceux-là prennent un risque, car un jour, le client découvrira que d’autres intégrateurs peuvent lui en offrir beaucoup plus pour le même budget et dans le même temps !

Voici un exemple concret ; imaginez l'application suivante.

Une GTC simple (remontée d’alarmes, archivage et ihm) d’un datacenter réparti sur plusieurs bâtiments. Chaque bâtiment doit disposer de son propre serveur (+5000 variables) et servir une dizaine de clients, et on doit pouvoir voir les autres bâtiments depuis n’importe quel endroit de l’installation.

Je vous laisse imaginer l’architecture, son déploiement et sa maintenance (ouch les montées de versions…) en solution classique (serveurs + clients lourds ou serveurs + clients légers) et les coûts d'un tel déploiement (penser à inclure la licence de développement – au fait comment je fais quand je n’ai qu’une licence de développement, mais trois applications distinctes et distantes à maintenir ? -, le coût du contrat de maintenance associé, etc.).

Imaginez maintenant la même application avec Ignition : 3 serveurs et du retargetting pour l’hypervision. Sous Linux. Pour le reste, variables, clients et outils de développements en mode web et illimités. Le client pourra étendre son application à loisir. En faisant appel à son intégrateur adoré qui lui aura fait gagner beaucoup d’argent (30k€ vs +120k€) et de nombreuses fonctionnalités (reporting, intégration à l’entreprise, dashboard, applications disponibles sur iPhone/iPad ou Blackberry, etc.).

Alors, qui est-ce qui va adorer ?

jeudi 14 avril 2011

La supervision web, une nouvelle ère

Du contrôle/commande en mode web, une tendance ?



Il y a peu, on considérait impossible la réalisation d'applications web avec des animations et des temps de réponses instantanés comme il est nécessaire pour la supervision industrielle. Aujourd'hui, une nouvelle race de supervision web arrive dans les ateliers.

"Les systèmes à base de Java peuvent maintenant avoir des temps de réponses (très) en dessous de la seconde, avoir des animations riches et s'intégrer parfaitement au système d'information de l'entreprise", précise Nathan Boeger d'Inductive Automation.

A la différence des systèmes classiques, un scada web peut être étendu à tous les départements d'une entreprise comme la qualité, la maintenance, la logistique, les énergies... et de manière très économique. Grâce à l'approche web, chaque intervenant de l'entreprise peut avoir accès aux informations essentielles de la production.

Les raisons de la popularité des interfaces web sont évidentes. Installation en un seul point, accès aux applications par une simple url et un navigateur internet et la certitude d'avoir toujours la dernière version de l'application. Il n'y a plus de gestion complexe des déploiements ni de contraintes de licences par client déployé. Les services informatiques sont d'autant plus favorable à ce type de solutions qu'ils en comprennent la technologie et la portée pour l'exploitation quotidienne du système d'information. Totalement à l'opposé des systèmes traditionnels.

L'avantage économique du modèle web est évident mais il n'est pas le seul. Un système web s'intègre parfaitement aux autres applications d'entreprise et facilite le partage et la diffusion de l'information sans ajouter de complexité.

Sécurité

Lorsqu'on aborde le sujet des applications web, la sécurité est souvent la première objection qui est soulevée. Les évènements récents ont montré que les scada pouvaient devenir des cibles d'attaques et nombre de comités de sécurité informatique pointent maintenant le doigt sur ces outils.

Les solutions traditionnelles traitent la sécurité en l'omettant et en avançant le fait que le système est fermé, qu'il ne faut pas relier la supervision au reste de l'entreprise etc. A l'opposé, les systèmes qui reposent sur des technologies web ont toujours mis en avant l’utilisation de standards de sécurité éprouvés et dores et déjà en place dans les entreprises et administrés par les services informatiques.

Il ne faut pas se leurrer, il y aura bientôt un encadrement légal/juridique pour la sécurité des systèmes industriels. Les vendeurs traditionnels vont devoir revoir complètement leur approche de la sécurité à ce moment là. Et ils béniront ce temps car ils pourront alors vendre des mises à jour à prix d'or !

Et dans le futur

Fonctionnellement parlant, il n'y a pas eu de changement dans le domaine de la supervision ces dernières années.
“Les HMI qui ne sont qu'une interface homme-machine ne sont qu'un confort et se trouvent à bas prix sur internet... La véritable valeur d'un HMI est dans les interfaces de type web, qui se connectent aux applications de gestion de l'entreprise et qui réalisent des fonctions de MES,” ajoute Rich Merritt, senior technical editor de Control Global, dans son article “HMI Software is disappearing”.
Plusieurs théories - appuyées par des exemples de l'histoire, voir Seeing What's Next, éditions Eyrolles - prédisent des changements importants dans l'industrie dans les prochaines années. En faisant le parallèle, on peut estimer que les éditeurs traditionnels de supervision vont continuer à alimenter leur marché sans grande modification. Ils ne vont tout de même pas entrer en compétition avec un modèle économique qu'ils ont créé de toute pièce !
De l'autre côté, les nouveaux entrant qui utilisent une technologie innovante reposant sur le web vont avoir un grand succès là où les éditeurs traditionnels ont failli ; chez tous ces clients qui refusent de dépenser des sommes importantes pour des systèmes perçus comme inutilement compliqués, lourds et trop riches par rapports aux besoins réels. Il y a un potentiel de croissance énorme pour ce segment inoccupé.

Tous ceux et celles qui côtoient les ateliers de production savent parfaitement que l'informatique y pénètre tout juste. Il y a des exceptions, mais en règle générale, le tableau noir (ou blanc) et la feuille de papier sont encore les rois des ateliers. Et si vous envisagez simplement comment remplacer ces éléments avec une application web, vous commencerez alors à entrevoir le potentiel de ce marché inexploité.

Il y a une croissance forte pour les scada web sur un marché vierge. Les utilisateurs ont finalement ce qu'ils ont toujours voulu : la fonctionnalité d'un HMI avec les coûts du web.
La vraie question n'est pas de savoir si le contrôle/commande en mode web est une tendance - c'est une évidence, mais plutôt quels sont les acteurs capables de délivrer la technologie. Aujourd'hui.

mardi 1 février 2011

Ignition V7.2 et Module Mobile disponibles

...depuis le 26 janvier dernier. Mais depuis ce matin, une vidéo présente le fonctionnement du module Mobile dans un cas d'utilisation quasi réel (quasi car il s'agit d'une application de démonstration - téléchargeable - mais qui peut parfaitement se connecter à des équipements avec très peu de modifications.


Version de démonstration 100% fonctionnelle en libre téléchargement : www.on-solution.net/telechargements

lundi 31 janvier 2011

Médiamétrie : 15,5 millions de mobinautes en France

En faites-vous partie ?
Bien sûr cette étude concerne plutôt le B2C (sites grand public), mais ce qui est intéressant, c'est de voir la croissance importante et la part des smartphones sur le parc total (43,5 millions).
Ce que cela veut surtout dire, c'est que l'usage de l'information en mobilité entre dans les moeurs et que pour un éditeur de supervision industrielle, il faut définitivement apporter LA réponse à l'usage de l'informatique industrielle en mobilité.
Chez nous, avec Ignition, ce n'est pas une option mais bien une fonctionnalité au coeur du produit. Multi plateforme signifie bien sûr Windows, Linux, OS X, HP-UX... mais aussi iPhone, iPad, Android, Blackberry, Windows Mobile...
Et avec toujours ce qui fait d'Ignition un produit absolument à part, installation et licence par serveur et tout illimité.

La preuve en images : http://www.youtube.com/watch?v=-r7odHworCI.

L'étude détaillée sur le site internet de médiamétrie.

mercredi 26 janvier 2011

Ignition Version 7.2 est là

Comme annoncé il y a quelques semaines, la version 7.2 d'Ignition est disponible en téléchargement gratuit.


Parmi les nouveautés : le module Mobile, le nouvel environnement de développement plus "windows user friendly", des évolutions sur le socle de clustering (redondance), des performances améliorées.

Et toujours , compatible Windows, Linux, OS X, serveur OPC-UA (gratuit) et compatibilité toutes bases de données.

Télécharger Ignition : www.on-solution.net/telechargements

Mettre à jour Ignition sur une machine Linux

Ignition est la supervision industrielle pour Windows et Linux (ou autres Unix comme OS X, HP-UX).
Le processus de mise à jour est très simple. Il est illustré dans cette nouvelle vidéo :


Pour les installations Windows, l'installateur fait office de mise à jour.

3 raisons de choisir Linux pour son contrôle/commande

image : http://www.linuxfordevices.com/c/a/News/Robotic-arm-runs-Linux/
Je dépoussière un peu mes favoris et remets sur le dessus les articles qui m'ont intéressés.

Dans celui-ci, il est avancé 3 raisons : #1 : sécurité, #2 : stabilité, #3 : coût

Comme toujours, chacun prendra les arguments pour argent comptant ou se lancera dans une polémique sans fin.


Lire l'article : Automation.com

mardi 11 janvier 2011

Ignition Mobile Module is King

Pourquoi le nouveau module Mobile d'Ignition est la meilleure solution pour la supervision mobile ?

Le Module Mobile d'Ignition sera disponible le 25 janvier prochain ! Il est compatible avec tous les terminaux mobiles modernes comme les iPhone, iPad, Blackberry ou tout smartphone Android (ex. le Samsung Galaxy S ci-contre).
Ignition Mobile repose sur l'élément <canvas> de l'HTML5 et ne nécessite ni plugin ni JRE pour fonctionner.

Le module est tellement simple de mise en oeuvre qu'on en oublie la réalité technique d'une telle implémentation.

Il suffit de lister les critères qui ont dicté le développement de ce module pour s'en convaincre :
  1. doit s'exécuter sur tous les terminaux mobiles modernes
  2. ne doit pas avoir recours à des plugins
  3. doit pouvoir réutiliser les application Ignition existantes
  4. ne doit pas nécessiter de développement spécifique
  5. doit fournir la fonction zoom-and-pan
  6. doit être basé sur des standards ouverts
  7. doit utiliser des technologies pérennes
  8. doit être sécurisé
  9. doit être aussi simple à installer qu'un autre module Ignition, zéro configuration
Et vous savez quoi ? Inductive Automation l'a fait. Pour chacun des points.

J'ai beau chercher, il n'y a pas de solution équivalente sur le marché de la supervision industrielle. Et comme toujours avec Ignition, vous pouvez lancer autant de clients que vous le souhaitez, gratuitement (limitation par la capacité de votre serveur, pas par la licence).

Le 25 janvier prochain, vous pourrez télécharger la version de démonstration gratuite et juger par vous même, direction www.on-solution.net pour le téléchargement.

mardi 4 janvier 2011

Vous vous souvenez du c-MES ?


Il y a quelques années, l'acronyme c-MES fut très à la mode. Il est simplement devenu aujourd'hui MES. Mais qu'est donc arrivé au "c" ? Pour mémoire, le "c" signifie collaborative. Le MESA nous en parle ici : http://www.mesa.org/en/modelstrategicinitiatives/MESAModel.asp.
MESA - Modèle MES version 2.1

Si vous faites quelques recherches sur internet, vous verrez qu'il y a peu de références au c-MES. Si on y réfléchit un peu, cela n'est pas si surprenant. En réalité, les progiciels de MES sont tout sauf collaboratif ! On comprends alors mieux que le MESA communique plus sur le MES de nos jours.

Un bon MES devrait inclure les applications comme la planification, le suivi des arrêts machines, le calcul du TRS ou OEE, la gestion de la qualité, la gestion de la maintenance ainsi que de nombreuses autres outils qui doivent faciliter la coordination et la gestion de l'usine. Mais pour ce faire, chaque module applicatif doit collaborer avec les autres de même que le personnel impliqué dans ces tâches : opérateurs, personnel de maintenance, qualiticiens, repsonsables de production etc. Le MES devrait être affaire de c-ollaborative.

Cela implique donc de partager des données, l'authentification, de pouvoir basculer rapidement (et contextuellement) d'application, de s'interconnecter à des sources de données hétérogènes (API, ERP, BDD).  Cela signifie aussi la possibilité pour chaque personne impliquée de pouvoir accéder au systèmes de n'importe où sans contrainte technique ni de licence.
Les MES qui ne peuvent pas répondre à tous ces points sont voués à l'échec et à une utilisation limitée. Ceux qui cochent toutes les cases peuvent prétendre à remettre le "c" accolé à MES et les grands vainqueurs sont les industriels qui les utilisent.

lundi 3 janvier 2011

Repenser la supervision industrielle pour l'usine moderne



Quoi de plus difficile que d'expliquer tout le potentiel d'Ignition ? Cette plateforme est capable de tellement de choses dans une entreprise que je suis souvent tenté de dire qu'elle peut tout faire ! Expliquer Ignition c'est comme essayer d'expliquer l'iPhone à une personne mais en 1980 : "Tu as un téléphone qui te permet de lire ton journal, d'écouter ta musique, regarder tes films préférés... de prendre des photos et des vidéos et même de les monter !" et vous de continuer "Et si tu es perdu, ton téléphone te géolocalise sur une carte en temps réel et t'indique même le bistrot le plus proche et le moyen de t'y rendre, à pied, en voiture ou en transports urbains !"... Imaginez la tête de votre interlocuteur alors qu'il ne connait que le minitel...au mieux le Communicator de Mr Spoke dans Star Trek !

Heureusement, cette courte vidéo vient aider dans la compréhension. Si vous aimez et que vous souhaitez la partager, ajoutez cette url dans vos emails :
http://www.youtube.com/watch?v=VL82lEg6DQQ

mardi 2 novembre 2010

A la recherche de Silverlight

Un certain nombre d'éditeurs de SCADA/HMI/SUPERVISION/MES ont construit leur stratégie sur Silverlight, et bien que cette technologie permet des graphismes incroyable, je dois dire que je loue le fait qu'Inductive Automation n'ait pas choisi une technologie Microsoft pour son produit phare, Ignition.
La semaine dernière, Microsoft a annoncé son changement de stratégie concernant Silverlight au profit de HTML5. Je ne devrais pas être étonné tellement l'adoption par tous de HTML5 semble inévitable, mais plutôt parce que Silverlight est une technologie jeune.

C'est une bonne décision que celle-ci, mais dans le monde du HMI/SCADA/SUPERVISION/MES, une telle ré-orientation est un vrai désastre. En particulier pour ceux qui ont investi dans Silverlight. Editeurs comme clients finaux et intégrateurs.
Baser ses développements industriels sur des technologies non standards et trop récente (non pérenne ?) est donc toujours un pari risqué.

L'annonce de Microsoft : http://zd.net/b2vIUn
Quelques réactions de développeurs : http://forums.silverlight.net/forums/p/207084/487334.aspx