mercredi 18 mai 2011

La supervision RAD 2*, vous allez adorer !

*rapid application development and deployment

Lorsqu’un intégrateur installe Ignition pour son client, il en donne plus qu’il n’y paraît au premier abord. Le client économise à la fois sur le coût des licences, mais également sur la main d’œuvre pour le développement de l’application et son déploiement. C’est le double effet kiss cool pour le client final.

Si vous êtes un intégrateur et que vous lisez ces lignes, vous allez bondir et dire "mais c’est du job en moins pour moi !". L’expérience montre que ce n’est pas ce qui se passe. Au contraire, quand vous offrez plus de fonctionnalités dans le même temps de développement, votre client vous reconnaitra cette efficacité. Et il vous en demandera encore plus. C’est une situation gagnant-gagnant. Et la réalité est que le client a le sentiment d’obtenir enfin ce qu’il a toujours attendu pour ce type de prestation.

C’est une situation que vous devez utiliser comme un avantage décisif pour offrir vos services.

Envisagez un autre point de vue : qui aime payer son intégrateur plusieurs jours juste pour installer et mettre à niveau son logiciel de supervision ? C’est un gaspillage incroyable de temps et d’argent et je – on - comprends parfaitement la frustration des clients finaux dans ce genre de contexte. Stop. L’installation d’une supervision industrielle, base SQL comprise, ne doit pas durer plus de trois minutes, montre en main. Le reste du temps, créez l’application de votre client et déployez une centaine de clients en un clic de souris.

Les clients finaux deviennent de plus en plus exigeants

Les clients finaux commencent à comprendre que c’est ainsi que cela doit se passer. Je suis témoin tous les jours de la grande surprise des clients lorsqu’ils découvrent Ignition et qu’ils commencent à comprendre le potentiel d’une telle architecture. Le scepticisme – d’une solution web centrique, car il faut admettre que jusque là, les propositions des éditeurs prêtaient plutôt à sourire  – laisse la place à un large sourire qui en dit long sur leurs attentes. Et les intégrateurs ne s’y trompent pas non plus. Maintenant, pour un client final – et un bon intégrateur – serveur web et bases SQL sont la norme.

Quand un intégrateur propose à un de ces clients une solution old school, il prend le risque de se voir opposer de sérieux arguments à sa proposition.

Quasi toutes les solutions du marché sont so 90’s. Ce qui est rafraichissant dans la mode ou la musique devient un handicap lorsqu’on parle de logiciels industriels. L’utilisation de bases de données relationnelle est courante en supervision. Tous les éditeurs ont une solution pour "mettre en base" comme ils disent. Mais ce ne sont que des add-on et rien n’a été pensé à la source avec SQL dans l’esprit. Vous pouvez bien sûr arriver à construire une application qui mêle supervision (une licence), historian (une licence) et relationnel avec les bases de l’entreprise (un bricolage)… Mais pourquoi se compliquer la vie, faire des assemblages de logiciels quand vous pouvez le faire en quelques clics, de manière native et pour une fraction du temps de développement ?

Croyez-moi, vous allez adorer.

Intégrateurs, partez en tête pour la course à la compétitivité

Les intégrateurs doivent être à l’affut des solutions pour être plus efficaces. Certains intégrateurs disent "Je fais juste ce que le client me demande." Ceux-là prennent un risque, car un jour, le client découvrira que d’autres intégrateurs peuvent lui en offrir beaucoup plus pour le même budget et dans le même temps !

Voici un exemple concret ; imaginez l'application suivante.

Une GTC simple (remontée d’alarmes, archivage et ihm) d’un datacenter réparti sur plusieurs bâtiments. Chaque bâtiment doit disposer de son propre serveur (+5000 variables) et servir une dizaine de clients, et on doit pouvoir voir les autres bâtiments depuis n’importe quel endroit de l’installation.

Je vous laisse imaginer l’architecture, son déploiement et sa maintenance (ouch les montées de versions…) en solution classique (serveurs + clients lourds ou serveurs + clients légers) et les coûts d'un tel déploiement (penser à inclure la licence de développement – au fait comment je fais quand je n’ai qu’une licence de développement, mais trois applications distinctes et distantes à maintenir ? -, le coût du contrat de maintenance associé, etc.).

Imaginez maintenant la même application avec Ignition : 3 serveurs et du retargetting pour l’hypervision. Sous Linux. Pour le reste, variables, clients et outils de développements en mode web et illimités. Le client pourra étendre son application à loisir. En faisant appel à son intégrateur adoré qui lui aura fait gagner beaucoup d’argent (30k€ vs +120k€) et de nombreuses fonctionnalités (reporting, intégration à l’entreprise, dashboard, applications disponibles sur iPhone/iPad ou Blackberry, etc.).

Alors, qui est-ce qui va adorer ?

jeudi 14 avril 2011

Ignition et les services web

Nous avons pour habitude de fournir à nos clients ce qu'ils attendent (en général rapidement, parfois moins vite, mais en tous cas en tenant compte de l’intérêt général). Ces derniers temps, nous avons une demande très forte pour les services web alors nous avons lancé le développement du module Ignition Web Services.

Une définition pour mémoire d'un service web (source wikipedia france) :

Un service web est un programme informatique permettant la communication et l'échange de données entre applications et systèmes hétérogènes dans des environnements distribués. Il s'agit donc d'un ensemble de fonctionnalités exposées sur internet ou sur un intranet, par et pour des applications ou machines, sans intervention humaine, et en temps réel.

La définition complète évoque SOAP, WSDL... oublions cela pour l'instant. Nous voulons que l'utilisation du module Web Services ne nécessite pas ou très peu de connaissance des services web. Le module aura les fonctions de demandeur et de fournisseur d'informations.

Mais alors, des services web pour quoi faire ? Pour vous interfacer simplement avec votre ERP (SAP, CEGID...) ou d'autres applications d'entreprise. Mais vous pourrez aussi vous interfacer avec des matériels tels que les Smartserver iLon de Lonmark.

Nous avons tant de développements excitant dans notre planning, le module Web Services n'en n'est qu'un partie. Vous aurez bientôt des nouvelles de ce module et d'autres nouveautés encore.

Stay tuned.

La supervision web, une nouvelle ère

Du contrôle/commande en mode web, une tendance ?



Il y a peu, on considérait impossible la réalisation d'applications web avec des animations et des temps de réponses instantanés comme il est nécessaire pour la supervision industrielle. Aujourd'hui, une nouvelle race de supervision web arrive dans les ateliers.

"Les systèmes à base de Java peuvent maintenant avoir des temps de réponses (très) en dessous de la seconde, avoir des animations riches et s'intégrer parfaitement au système d'information de l'entreprise", précise Nathan Boeger d'Inductive Automation.

A la différence des systèmes classiques, un scada web peut être étendu à tous les départements d'une entreprise comme la qualité, la maintenance, la logistique, les énergies... et de manière très économique. Grâce à l'approche web, chaque intervenant de l'entreprise peut avoir accès aux informations essentielles de la production.

Les raisons de la popularité des interfaces web sont évidentes. Installation en un seul point, accès aux applications par une simple url et un navigateur internet et la certitude d'avoir toujours la dernière version de l'application. Il n'y a plus de gestion complexe des déploiements ni de contraintes de licences par client déployé. Les services informatiques sont d'autant plus favorable à ce type de solutions qu'ils en comprennent la technologie et la portée pour l'exploitation quotidienne du système d'information. Totalement à l'opposé des systèmes traditionnels.

L'avantage économique du modèle web est évident mais il n'est pas le seul. Un système web s'intègre parfaitement aux autres applications d'entreprise et facilite le partage et la diffusion de l'information sans ajouter de complexité.

Sécurité

Lorsqu'on aborde le sujet des applications web, la sécurité est souvent la première objection qui est soulevée. Les évènements récents ont montré que les scada pouvaient devenir des cibles d'attaques et nombre de comités de sécurité informatique pointent maintenant le doigt sur ces outils.

Les solutions traditionnelles traitent la sécurité en l'omettant et en avançant le fait que le système est fermé, qu'il ne faut pas relier la supervision au reste de l'entreprise etc. A l'opposé, les systèmes qui reposent sur des technologies web ont toujours mis en avant l’utilisation de standards de sécurité éprouvés et dores et déjà en place dans les entreprises et administrés par les services informatiques.

Il ne faut pas se leurrer, il y aura bientôt un encadrement légal/juridique pour la sécurité des systèmes industriels. Les vendeurs traditionnels vont devoir revoir complètement leur approche de la sécurité à ce moment là. Et ils béniront ce temps car ils pourront alors vendre des mises à jour à prix d'or !

Et dans le futur

Fonctionnellement parlant, il n'y a pas eu de changement dans le domaine de la supervision ces dernières années.
“Les HMI qui ne sont qu'une interface homme-machine ne sont qu'un confort et se trouvent à bas prix sur internet... La véritable valeur d'un HMI est dans les interfaces de type web, qui se connectent aux applications de gestion de l'entreprise et qui réalisent des fonctions de MES,” ajoute Rich Merritt, senior technical editor de Control Global, dans son article “HMI Software is disappearing”.
Plusieurs théories - appuyées par des exemples de l'histoire, voir Seeing What's Next, éditions Eyrolles - prédisent des changements importants dans l'industrie dans les prochaines années. En faisant le parallèle, on peut estimer que les éditeurs traditionnels de supervision vont continuer à alimenter leur marché sans grande modification. Ils ne vont tout de même pas entrer en compétition avec un modèle économique qu'ils ont créé de toute pièce !
De l'autre côté, les nouveaux entrant qui utilisent une technologie innovante reposant sur le web vont avoir un grand succès là où les éditeurs traditionnels ont failli ; chez tous ces clients qui refusent de dépenser des sommes importantes pour des systèmes perçus comme inutilement compliqués, lourds et trop riches par rapports aux besoins réels. Il y a un potentiel de croissance énorme pour ce segment inoccupé.

Tous ceux et celles qui côtoient les ateliers de production savent parfaitement que l'informatique y pénètre tout juste. Il y a des exceptions, mais en règle générale, le tableau noir (ou blanc) et la feuille de papier sont encore les rois des ateliers. Et si vous envisagez simplement comment remplacer ces éléments avec une application web, vous commencerez alors à entrevoir le potentiel de ce marché inexploité.

Il y a une croissance forte pour les scada web sur un marché vierge. Les utilisateurs ont finalement ce qu'ils ont toujours voulu : la fonctionnalité d'un HMI avec les coûts du web.
La vraie question n'est pas de savoir si le contrôle/commande en mode web est une tendance - c'est une évidence, mais plutôt quels sont les acteurs capables de délivrer la technologie. Aujourd'hui.

vendredi 25 février 2011

Supervision industrielle et Blackberry, vous en avez rêvé...?

Le blackberry est le smartphone du manager par excellence. Fonctionnel, communicant, endurant, fiable il a conquit ses lettres de noblesses avec des qualités avérées.
Alors que nombre de progiciels de supervision affirment avoir une solution "web" compatible avec les mobiles (hummm), la mise en oeuvre de la fonctionnalité web nécessite de mettre en place un serveur dédié, souvent IIS, parfois Terminal Service, en plus des postes classiques de supervision.
Outre le prix des licences "empilées", il faut prendre en compte le déploiement (ie installation) des logiciels sur les différents serveurs et postes clients, les performances du client web (?!) et la compatibilité relative de ce client web : avez-vous essayé de l'utiliser avec un Blackberry ?
Ignition, c'est une seule installation (la gateway) et tout se fait via un navigateur internet et en illimité.
Après l'iPhone, le Galaxy S, le Galaxy Tab, voici une démo sur un Blackberry réalisée par une personne totalement étrangère au produit Ignition.
Toujours sans déploiement, sans opération spécifique, juste un navigateur qui pointe sur le serveur Ignition.



Les autres vidéos Ignition : http://www.youtube.com/user/masteronsolution#g/u

Sceptique ou envie d'en savoir plus ? visitez www.on-solution.net, demandez une démonstration online guidée... A défaut d'être conquis, vous apprendrez surement quelque chose et vous parlerez à des personnes adorables autant que passionnées ;)
Ou allez sur le serveur : http://178.170.121.170:8088 avec votre mobile (html5 obligatoire : BB 6+, IOS 4+, Android 2.1+, WM7+). Au fait, votre fournisseur officiel de supervision vous laisse-t-il un accès libre  un serveur de démonstration ?

Have fun with Ignition. And be efficient !

mardi 1 février 2011

Ignition V7.2 et Module Mobile disponibles

...depuis le 26 janvier dernier. Mais depuis ce matin, une vidéo présente le fonctionnement du module Mobile dans un cas d'utilisation quasi réel (quasi car il s'agit d'une application de démonstration - téléchargeable - mais qui peut parfaitement se connecter à des équipements avec très peu de modifications.


Version de démonstration 100% fonctionnelle en libre téléchargement : www.on-solution.net/telechargements

lundi 31 janvier 2011

Médiamétrie : 15,5 millions de mobinautes en France

En faites-vous partie ?
Bien sûr cette étude concerne plutôt le B2C (sites grand public), mais ce qui est intéressant, c'est de voir la croissance importante et la part des smartphones sur le parc total (43,5 millions).
Ce que cela veut surtout dire, c'est que l'usage de l'information en mobilité entre dans les moeurs et que pour un éditeur de supervision industrielle, il faut définitivement apporter LA réponse à l'usage de l'informatique industrielle en mobilité.
Chez nous, avec Ignition, ce n'est pas une option mais bien une fonctionnalité au coeur du produit. Multi plateforme signifie bien sûr Windows, Linux, OS X, HP-UX... mais aussi iPhone, iPad, Android, Blackberry, Windows Mobile...
Et avec toujours ce qui fait d'Ignition un produit absolument à part, installation et licence par serveur et tout illimité.

La preuve en images : http://www.youtube.com/watch?v=-r7odHworCI.

L'étude détaillée sur le site internet de médiamétrie.

mercredi 26 janvier 2011

La tablette idéale pour Ignition

Non, pas encore une tablette de militaire. Il s'agit d'une tablette semi durcie qui s'apparente à une tablette grand public type iPad/Galaxy ou la future Playbook de RIM mais qui est plus adaptée à nos utilisations industrielles.
Son facteur forme est comparable tout comme son poids et son autonomie. D'ailleurs, même est prix est dans la moyenne (haute).

Par contre, sa construction est plus adaptée à nos usines et autres infrastructures, tout comme son OS (Windows 7) qui devrait permettre une intégration simple à l'exploitation informatique.
En tous cas, pour une utilisation avec Ignition, c'est à coup sûr, une excellente machine. Les cas d'utilisation sont nombreux : maintenance, qualité, télégestion en mobilité, agent de maitrise pour la saisie des arrets (TRS) dans l'usine, etc.
Quelques caractéristiques :
  • Moins 953g
  • Moins de 1000 euros ht
  • Saisie tactile et au stylet
  • Ecran de 10,1” avec une résolution 1368x768, verre Gorilla (yeah, comme mon Galaxy et mon Dell Streak !)
  • IP52 et MIL-STD-810G
  • Intel Atom 1,5ghz, 8h d'autonomie (constructeur...), windows 7
  • USB, carte SD, entrée/sortie audio, sortie vidéo
  • Wifi et Bluetooth, 3G en option
Le reste des spécifications : http://www.motioncomputing.fr/products/tablet_pc_CL900.asp
Le distributeur en France  : http://www.matablette.com/

Ignition Version 7.2 est là

Comme annoncé il y a quelques semaines, la version 7.2 d'Ignition est disponible en téléchargement gratuit.


Parmi les nouveautés : le module Mobile, le nouvel environnement de développement plus "windows user friendly", des évolutions sur le socle de clustering (redondance), des performances améliorées.

Et toujours , compatible Windows, Linux, OS X, serveur OPC-UA (gratuit) et compatibilité toutes bases de données.

Télécharger Ignition : www.on-solution.net/telechargements

Mettre à jour Ignition sur une machine Linux

Ignition est la supervision industrielle pour Windows et Linux (ou autres Unix comme OS X, HP-UX).
Le processus de mise à jour est très simple. Il est illustré dans cette nouvelle vidéo :


Pour les installations Windows, l'installateur fait office de mise à jour.

Nuages (comprendre IaaS, PaaS et SaaS*)

Pas un seul jour sans que l'on vous parle du nuage (ou du cloud). Même Microsoft s'y met et nous assène des campagnes TV à base de Windows 7 et Live.fr.

J'utilise pour mes besoins personnels et professionnels des outils web centric : dropbox pour les fichiers, les googles apps pour l'email et les contacts (toujours synchro avec nos iPhone, Android, WM...), gotomeeting pour les présentations en ligne, Microsoft Dynamics CRM online pour gérer mon cycle de vente, la téléphonie IP avec OVH, skype pour la VOIP...
Les avantages sont nombreux : rapidité et simplicité de mise en oeuvre, fiabilité (il faut avouer que tous ces services fonctionnent parfaitement), ubiquité du service en termes de lieux et de moyens d'accès (smartphone/tablet ou ordinateur fixe/portable, OS X, linux, windows).

Je reste convaincu qu'il s'agit d'une solution idéale pour bien des applications et pour nombre d'entreprises. Il ne faut pas s'y tromper, ce sera la solution de demain.Tous les services y auront droit, y compris le SCADA, si vous voyez ce que je veux dire.

Un nouveau genre d'application arrive, la gestion de votre infrastructure réseau dans le cloud ! rien que cela. Une solution simple et souple pour les TPE/PME qui ont besoin de déployer et gérer un réseau sans fil ou non mais qui n'ont pas de certification CISCO... Ils vous en parleront mieux que moi :


Mais qu'en est-il pour l'usage personnel ? et pour les encore moins technophiles d'entre-nous ?
Pour gérer ses quelques contacts personnels, Mobile Me (Apple), gmail ou bien les services de live/hotmail sont satisfaisants. Voir très bien.
Le plus compliqué et couteux, c'est le stockage et la diffusion des giga octets de films, photos, musiques qu'on accumule au fil du temps... Même si dropbox et autres box.net ne sont pas hors de prix (quoique, mais il faut bien vivre), on abandonne souvent lorsqu'on doit uploader ces dizaine/centaines de giga vers les serveurs avec une vitesse montante de 100ko/s dans les meilleurs conditions (ah, les heureux raccordés au FiberToTheHome...).

Une solution sympa et qui semble simple vous permet d'avoir votre propre nuage chez vous et d'utiliser votre propre box ADSL



* IaaS (Infrastructure as a service) : le matériel seul (serveurs) est dématérialisé (virtualisé)
* PaaS (Platform as a Service) : le matériel, l'hébergement et les application sont dématérialisés
* SaaS (Software as a Service) : matériel, hébergement, socle applicatif et logiciels sont dématérialisés

3 raisons de choisir Linux pour son contrôle/commande

image : http://www.linuxfordevices.com/c/a/News/Robotic-arm-runs-Linux/
Je dépoussière un peu mes favoris et remets sur le dessus les articles qui m'ont intéressés.

Dans celui-ci, il est avancé 3 raisons : #1 : sécurité, #2 : stabilité, #3 : coût

Comme toujours, chacun prendra les arguments pour argent comptant ou se lancera dans une polémique sans fin.


Lire l'article : Automation.com

Plateformes mobiles les plus populaires en entreprise

En ce début d'année, le Forrester Group nous gratifie d'une étude sur les plateformes mobiles utilisées et supportées par les départements IT des entreprises.
Pas de bouleversement. Mais des évolutions notables pour Apple IOS (on s'en serait douté) mais surtout de l'offre de Google, Android.

 Je ne commenterai pas les chiffres, chacun y trouvera son interprétation selon ses propres choix et sa propre politique d'entreprise.
Par contre, du point de vue de la mobilité pour les solutions de HMI/SCADA/MES comme Ignition, cela conforte l'idée que nous devons être plateforme indépendant. En effet, on constate que 4 plateformes mobiles sont majoritaires (BB, WM, IOS et Android) et que le simple respect de nos clients est de leurs laisser le choix.

Ignition et Ignition Mobile, c'est le choix !


mardi 11 janvier 2011

Ignition, où est le piège ?

C'est une situation qui arrive souvent, alors je me dis que je dois l'évoquer ici. Lorsqu'on présente Ignition à un intégrateur ou un client final, la question qui revient toujours est : "mais où est le piège" avec Ignition ?

Cette question est tellement récurrente que je me dois de donner une réponse : il n'y en a pas.

C'est drôle, mais il n'y a pas si longtemps, au cours d'un déjeuner qui suivait une présentation client, l'intégrateur me demanda : "mais comment pouvez-vous vivre en ne vendant qu'une licence serveur chez le client et à ce prix ?" Il est tellement habitué à payer le prix fort pour des outils limités que le prix est devenu son étalon (un peu comme la durée d'installation pour d'autres ;)). A force de vouloir me convaincre, j'ai fini par lui retourner la question : "pourquoi penses-tu que nous vendions si peu cher ? pourquoi est-ce que ce ne serait pas les autres éditeurs/distributeurs qui font payer beaucoup plus que la valeur réelle de leurs produits ?" 

Personnellement, je pense que le marché du HMI/SCADA a opéré un véritable lavage de cerveaux des utilisateurs et plus particulièrement dans le monde du MES. Cette vaste opération de communication - accompagnée d'un compérage autant tacite qu'incroyable de tous les éditeurs - consiste à faire croire que la supervision industrielle et le MES sont des activités très complexes et donc très coûteuses. C'est tout simplement faux !

Nous avons tout simplement un autre modèle économique. Nous vendons par serveur. Un point c'est tout. Notre objectif est de remettre la valeur là où elle se trouve. C'est à dire chez l'intégrateur. Passer 3 jours pour installer et configurer un logiciel ne produit aucune valeur. C'est pour cela qu'Ignition s'installe en 3 minutes. Vous pouvez utiliser les 3 jours qu'il vous reste pour réaliser le projet de votre client et créer de la valeur.

Dans mon passé d'intégrateur et de responsable commercial pour des éditeurs de supervision (fr et us), j'ai toujours eu de grandes frustrations : modèle de licence inapproprié, limitation du produit, déploiement complexe... Aujourd'hui, avec Ignition, toutes ces frustrations ont disparues. Pour mon plus grand bonheur et celui de mes clients. Et ce sont eux qui le disent.

La vérité est en marche - Humour

Sans déflorer le sujet, ce petit film se termine par une citation :
«D'abord ils vous ignorent, puis ils vous ridiculisent, ensuite ils vous combattent, puis vous gagnez.» -- Mahatma Gandhi
Bon visionnage.



Ignition Mobile Module is King

Pourquoi le nouveau module Mobile d'Ignition est la meilleure solution pour la supervision mobile ?

Le Module Mobile d'Ignition sera disponible le 25 janvier prochain ! Il est compatible avec tous les terminaux mobiles modernes comme les iPhone, iPad, Blackberry ou tout smartphone Android (ex. le Samsung Galaxy S ci-contre).
Ignition Mobile repose sur l'élément <canvas> de l'HTML5 et ne nécessite ni plugin ni JRE pour fonctionner.

Le module est tellement simple de mise en oeuvre qu'on en oublie la réalité technique d'une telle implémentation.

Il suffit de lister les critères qui ont dicté le développement de ce module pour s'en convaincre :
  1. doit s'exécuter sur tous les terminaux mobiles modernes
  2. ne doit pas avoir recours à des plugins
  3. doit pouvoir réutiliser les application Ignition existantes
  4. ne doit pas nécessiter de développement spécifique
  5. doit fournir la fonction zoom-and-pan
  6. doit être basé sur des standards ouverts
  7. doit utiliser des technologies pérennes
  8. doit être sécurisé
  9. doit être aussi simple à installer qu'un autre module Ignition, zéro configuration
Et vous savez quoi ? Inductive Automation l'a fait. Pour chacun des points.

J'ai beau chercher, il n'y a pas de solution équivalente sur le marché de la supervision industrielle. Et comme toujours avec Ignition, vous pouvez lancer autant de clients que vous le souhaitez, gratuitement (limitation par la capacité de votre serveur, pas par la licence).

Le 25 janvier prochain, vous pourrez télécharger la version de démonstration gratuite et juger par vous même, direction www.on-solution.net pour le téléchargement.

mardi 4 janvier 2011

Vous vous souvenez du c-MES ?


Il y a quelques années, l'acronyme c-MES fut très à la mode. Il est simplement devenu aujourd'hui MES. Mais qu'est donc arrivé au "c" ? Pour mémoire, le "c" signifie collaborative. Le MESA nous en parle ici : http://www.mesa.org/en/modelstrategicinitiatives/MESAModel.asp.
MESA - Modèle MES version 2.1

Si vous faites quelques recherches sur internet, vous verrez qu'il y a peu de références au c-MES. Si on y réfléchit un peu, cela n'est pas si surprenant. En réalité, les progiciels de MES sont tout sauf collaboratif ! On comprends alors mieux que le MESA communique plus sur le MES de nos jours.

Un bon MES devrait inclure les applications comme la planification, le suivi des arrêts machines, le calcul du TRS ou OEE, la gestion de la qualité, la gestion de la maintenance ainsi que de nombreuses autres outils qui doivent faciliter la coordination et la gestion de l'usine. Mais pour ce faire, chaque module applicatif doit collaborer avec les autres de même que le personnel impliqué dans ces tâches : opérateurs, personnel de maintenance, qualiticiens, repsonsables de production etc. Le MES devrait être affaire de c-ollaborative.

Cela implique donc de partager des données, l'authentification, de pouvoir basculer rapidement (et contextuellement) d'application, de s'interconnecter à des sources de données hétérogènes (API, ERP, BDD).  Cela signifie aussi la possibilité pour chaque personne impliquée de pouvoir accéder au systèmes de n'importe où sans contrainte technique ni de licence.
Les MES qui ne peuvent pas répondre à tous ces points sont voués à l'échec et à une utilisation limitée. Ceux qui cochent toutes les cases peuvent prétendre à remettre le "c" accolé à MES et les grands vainqueurs sont les industriels qui les utilisent.

"Softwar" ou le futur de la supervision industrielle et du MES

Il est trop facile d'enfoncer des portes ouvertes. Mais il faut bien admettre que dans le monde de la supervision, tout va bien (et encore) jusqu'à ce qu'il soit question de mise à jour de licences...

Le modèle de licence par utilisateur, par client, par variable (le so famous tag), par connexion bdd etc. a vécu. L'un des plus grands constructeur et éditeur a eu la largesse d'esprit de proposer des licences "par écran", une autre de tarifer ses clients légers en "limitant ses performances" et "ses fonctionnalités". Merci beaucoup Messieurs pour ces avancées ! le modèle de licence le plus évolué depuis ces 15 dernières années ;)

La vérité est que le modèle client-serveur pour la supervision industrielle et le MES est dans un cul-de-sac. Et ce n'est pas moi qui le dit, c'est Larry Ellison dans son approche de l'IT moderne il y a plus de 10 ans maintenant.
Softwar (http://amzn.to/ecqbjs) est un livre sur Larry Ellison et Oracle dont il est le CEO et l'un des principaux fondateurs. C'est un livre interressant car il donne un aperçu de se qui se profile pour notre industrie. On peut voir un parallèle étrange entre ce qu'a prédit Ellison pour l'IT (et qui est factuel aujourd'hui) et ce qui se passe dans l'automation de nos jours. Une bonne lecture pour vos prochaines vacances (tout comme Le But, de Eliyahu M. Goldratt http://amzn.to/gTS6Cm).
Alors, que dit Larry Ellison ? Que le modèle avec une base de données centrale est le seul modèle viable. Il précise que le client-serveur ne distribue que de la complexité et de l'"in-maintenabilité", que ce modèle est dans une voie sans issue, à la fin de son cycle.
A la lecture de ces mots, on ne peut que se dire, oui, j'aurai pu l'écrire. C'est exactement ce que je défends tous les jours. Depuis longtemps. Ellison l'a dit, les faits lui ont donné raison.

Ellison évoque aussi la justification de l'offre Oracle eBusiness Suite. Selon lui, toutes les applications du niveau ERP doivent avoir en commun un entrepôt de données, un schéma et une interface utilisateur. Elles devraient de plus fournir des fonctionnalités prêtes à l'emploi. Ce modèle évite la fragmentation et la dispersion des données en même temps qu'il facilite la création d'applications homogènes et conçues pour fonctionner de concert.

Et c'est exactement l'approche que nous proposons avec Ignition MES Suite, l'offre orientée production d'Ignition. Vous n'avez entraperçu que le module OEE Downtime mais durant cette année, vous découvrirez la suite MES la plus incroyable et totalement en phase avec ce concept.
Et nous allons un pas plus loin, car avec notre modèle de licence car vous ne payez que pour le serveur. Vous pouvez ensuite développer avec le Designer web, lancer autant de clients que nécessaire, créer autant de projets que vous voulez, utiliser autant de variables (vous savez, le tag !) et vous n'aurez jamais aucune contrainte par la licence.
Tout ce que vous connaissez pour Ignition s'applique pour le MES. Jump in the wagon.

lundi 3 janvier 2011

Nouvelle année, back to old times

Avec cette nouvelle année, que je vous souhaite excellente, un petit retour en arrière dans le monde de l'informatique permet de se rendre compte de l'évolution incroyable de nos outils quotidiens. Au bon vieux temps du SICOB (http://fr.wikipedia.org/wiki/Sicob, consultez la page d'un technicien Bull de l'époque et le projet de TV Sicob), des magasins Tandy, de Sinclair, Amstrad, Commodore, Atari et autres PDB, SOLAR...

Repenser la supervision industrielle pour l'usine moderne



Quoi de plus difficile que d'expliquer tout le potentiel d'Ignition ? Cette plateforme est capable de tellement de choses dans une entreprise que je suis souvent tenté de dire qu'elle peut tout faire ! Expliquer Ignition c'est comme essayer d'expliquer l'iPhone à une personne mais en 1980 : "Tu as un téléphone qui te permet de lire ton journal, d'écouter ta musique, regarder tes films préférés... de prendre des photos et des vidéos et même de les monter !" et vous de continuer "Et si tu es perdu, ton téléphone te géolocalise sur une carte en temps réel et t'indique même le bistrot le plus proche et le moyen de t'y rendre, à pied, en voiture ou en transports urbains !"... Imaginez la tête de votre interlocuteur alors qu'il ne connait que le minitel...au mieux le Communicator de Mr Spoke dans Star Trek !

Heureusement, cette courte vidéo vient aider dans la compréhension. Si vous aimez et que vous souhaitez la partager, ajoutez cette url dans vos emails :
http://www.youtube.com/watch?v=VL82lEg6DQQ